Titre original: La mansion de las 7 momiasRéalisé par : Rafael Lanuza
Mexique - 1977
Avec : Blue Demon, María Cardinal, Superzán, Claudio Lanuza, Júlio Santos, Enrique Bremermann, Manuel Palacios...
Après la mort de son père, la belle Sofía hérite de sa fortune. Cependant, une malédiction a été jetée sur cette fortune et si elle décide de la garder, elle doit vendre son âme au diable.
Blue Demon et Superzán aident à protéger Sofía contre la maléfique Isabel et son armée de momies, qui ont l'intention de la tuer et de lui voler son héritage...
Un lien trouvé pour vous on ze oueb :
À mon avis : l'un des meilleurs Blue Demon !
Un film gothique mexicain sur fond de lucha libre et de rock psychédélique. Et un mélange de film de malédiction, de lutteurs envoûtés et de momies cannibales avec quelques codes inhérents au genre gothique, et un comique mexicain de service.
LA MANSION DE LAS 7 MOMIAS est très sympa à regarder et il permet de créer des parallèles avec d'autres classiques du genre : ZOMBIES OF MORA TAU (1957) et LE COMMANDO DES MORTS-VIVANTS (1977) pour le trésor protégé par des hordes de zombies + les momies surgissant très lentement des marais rappellent immanquablement les apparitions zombiesques du MARAIS DES CORBEAUX (1974) et du LAC DES MORTS-VIVANTS (1977) et du COMMANDO précité.
Dans les scènes de combats, Blue Demon y côtoie aussi Superzàn.
En tout bon film gothique old-school, on retrouve ce bossu boiteux en fossoyeur, il est une vieille imagerie satanique (le boiteux) aussi inspirée de Fritz/Igor des FRANKENSTEIN et de Quasimodo. Hideux et souvent voyeur, ce personnage cristallisait le doute du spectateur dans le cinéma d'horreur, pour l’aiguiller vers de vraies ou de fausses pistes. Il passait souvent la tête par la fenêtre des chambres des jeunes femmes pour les regarder se déshabiller (Luciano Pigozzi dans NUDE...SI MUORE), il était parfois romantique mais borderline (Paul Naschy dans LE BOSSU DE LA MORGUE, le jardinier de LA NUIT DE LA MORT), ou tueur méthodique (le Fuad Ramses de BLOOD FEAST, le Morpho des Orloff de Jess Franco).
Un film gothique mexicain sur fond de lucha libre et de rock psychédélique. Et un mélange de film de malédiction, de lutteurs envoûtés et de momies cannibales avec quelques codes inhérents au genre gothique, et un comique mexicain de service.
LA MANSION DE LAS 7 MOMIAS est très sympa à regarder et il permet de créer des parallèles avec d'autres classiques du genre : ZOMBIES OF MORA TAU (1957) et LE COMMANDO DES MORTS-VIVANTS (1977) pour le trésor protégé par des hordes de zombies + les momies surgissant très lentement des marais rappellent immanquablement les apparitions zombiesques du MARAIS DES CORBEAUX (1974) et du LAC DES MORTS-VIVANTS (1977) et du COMMANDO précité.
Dans les scènes de combats, Blue Demon y côtoie aussi Superzàn.
En tout bon film gothique old-school, on retrouve ce bossu boiteux en fossoyeur, il est une vieille imagerie satanique (le boiteux) aussi inspirée de Fritz/Igor des FRANKENSTEIN et de Quasimodo. Hideux et souvent voyeur, ce personnage cristallisait le doute du spectateur dans le cinéma d'horreur, pour l’aiguiller vers de vraies ou de fausses pistes. Il passait souvent la tête par la fenêtre des chambres des jeunes femmes pour les regarder se déshabiller (Luciano Pigozzi dans NUDE...SI MUORE), il était parfois romantique mais borderline (Paul Naschy dans LE BOSSU DE LA MORGUE, le jardinier de LA NUIT DE LA MORT), ou tueur méthodique (le Fuad Ramses de BLOOD FEAST, le Morpho des Orloff de Jess Franco).